Il était 00:53, métro Lucien L’Allier.
Je revenais de la SPAP, Soirée de poésie et autres paroles de L’Off-FPTR.
Corps sur escalier mécanique. architecture souterraine. l’oeil vibre.
Il était 00:53, métro Lucien L’Allier.
Je revenais de la SPAP, Soirée de poésie et autres paroles de L’Off-FPTR.
Corps sur escalier mécanique. architecture souterraine. l’oeil vibre.
Quand j’ai cadré, je me suis dit que le poème était juste là.
Ce n’est peut-être pas un poème déjà, mais je lis la possibilité d’un poème ; les possibilités de la forme poétique.
Parfois, je triche quand je cadre certains tags afin d’entendre certaines sonorités susceptibles de déclencher l’imaginaire.
Et parfois, l’imaginaire m’apprend sur la science : ite, nom féminin ; CHIMIE – itol.
Itol, nom masculin ; CHIMIE – Sucre obtenu par hydrogénation d’un ose.
Je ne sais ce que ça signifie.
Mais je lis un geste fluide.